Hunt the good stuff
Mes chères et chers Équilibristes,
Comment vous portez-vous depuis ma dernière lettre (un mois déjà !) ?
J’ai eu la joie de rencontrer beaucoup d’entre vous pendant la série de masterclasses que j’ai données le mois dernier dans le cadre du lancement de la 3ème promo de Conscious Ambitions. Quel plaisir de nous connecter, vous mettre en mouvement et en lien autour de sujets qui nous relient. Merci à celles et ceux qui étaient là, c’est formidable de mettre des visages sur des noms que je vois passer, parfois depuis des années. Votre confiance me touche.
Cette lettre pour :
vous donner quelques nouvelles de ce que je trame (et qui explique la pause du podcast – c’est bien une pause et pas un arrêt !)
partager avec vous une phrase qui m’est revenue ces derniers temps et que je me répète très souvent ces jours-ci
et en apprendre plus sur vous
D’abord les nouvelles du front. Je suis en pleine écriture de mon premier livre, dont je vous parlerai davantage début 2025 pour vous embarquer dans son histoire, le processus d’écriture et imaginer ensemble comment fêter son lancement (bah oui !). En parallèle – ou plutôt, en fond – j’accompagne le nouveau groupe de Conscious Ambitions, mes clients organisations dans divers projets de journées, conférences et ateliers (dont je vous reparlerai, car je pense qu’ils vont vous intéresser), et mes clients en coaching individuel. A ce propos, quelques places vont se libérer en coaching individuel, n’hésitez pas à m’écrire si vous êtes intéressé ou intéressée.
J’ai aussi eu plusieurs demandes au sujet de Conscious Ambitions pour lancer un nouveau groupe en début d’année. Si vous êtes déçue ou déçu d’avoir loupé le démarrage en octobre, écrivez-moi pour que nous échangions. C’est un programme qui fait ses preuves de promo en promo, et le groupe qui vient de démarrer vit déjà des déclics puissants pour faire mieux rimer leurs ambitions pro et perso. N’hésitez pas à répondre simplement à cet email si vous avez envie d’en savoir plus !
Maintenant, la phrase que je vous avais promise. Vous connaissez mon amour de la langue anglaise et de ses expressions si économes en mots et fortes en sens. Si straight to the point quoi. Récemment m’est revenue la phrase d’une de mes coachs américaines :
Hunt the good stuff
(vous avouerez que « chassez les trucs chouettes », ça sonne un peu moins bien).
Cette phrase m’accompagne beaucoup en ce moment.
J’adore sa simplicité, son air de ne pas y toucher, et son conseil empli de sagesse : affûtons nos regards pour voir ce qui est beau.
Pas de positivité toxique, pas de mièvrerie, mais une discipline pour aller à la recherche de ce qui fait du bien. Dans un contexte très dur, c’est une invitation à apprécier ce qui doit l’être, individuellement et collectivement, alors que notre mental va spontanément nous proposer de nous affairer à combler ce qui ne va pas. Notre capacité d’agir (et donc de contribuer à améliorer ce qui doit l’être, les opportunités ne manquent pas…) en dépend. Nous ne pouvons agir que si nous en avons l’élan.
Hunt the good stuff nous incite à tout cela.
(Cette phrase me fait aussi penser à un chien qui reniflerait dans les feuilles, et ça c’est de saison, ça sent bon la soupe chaude, le thé fumant et le plaid. D’où la photo, il y a bien un lien !)
C’est donc l’invitation de cette lettre.
Comment pourriez-vous, au quotidien, « hunt the good stuff » ?
Qu’est-ce que cela vous offrirait ?
Enfin, j’ai envie de mieux vous connaître, et je vous serais très reconnaissante de prendre quelques minutes pour m’en dire plus sur vous.
Pour vous remercier de prendre ce temps, je vous propose de me laisser vos coordonnées à la fin pour vous convier aux événements qui seront organisés pour fêter la sortie de mon livre (prévue en mai 2025).
Merci beaucoup par avance.
A très bientôt !
Sandra